Deshabillez-moi
"Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez me convoiter, me désirer, me captiver
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Mais ne soyez pas comme tous les hommes, trop pressés.
Et d'abord, le regard
Tout le temps du prélude
Ne doit pas être rude, ni hagard
Dévorez-moi des yeux
Mais avec retenue
Pour que je m'habitue, peu à peu..."
Ainsi commençait la chanson interprétée par Juliette Gréco.
Ce verre m'y a fait penser, il est terriblement érotique non ?
Je l'imagine plein d'un délicieux vin dont la robe partiellement dévoilée est promesse de nectars.
Il donne envie de baisser le zip encore un peu, doucement, pas encore, oh si, oh non ... c'est si bon d'attendre parfois ...
Il a une face cachée, une face offerte, selon l'orientation que la main lui donne. Il donne envie, semble fragile et robuste à la fois, il donne envie de toucher, de goûter, de savourer.
"Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite" ...